Instagram a lancé jeudi “Threads”, une nouvelle alternate à Twitter. Mais la plateforme suscite déjà des critiques de la droite, notamment de la représentante Marjorie Taylor Greene. Elle soutient que la nouvelle plate-forme sera une “expérience de médias sociaux de model marxiste”.
La nouvelle option Twitter d’Instagram, Threads, n’a même pas un jour.
Mais il apparel déjà les critiques de la droite.
Partageant une capture d’écran d’un autre utilisateur de Twitter qui semble afficher un avertissement de contenu sur le profil de Donald Trump Jr. sur la nouvelle plate-forme.
“Ce compte a publié à plusieurs reprises de fausses informations qui ont été examinées par des vérificateurs de faits indépendants ou qui sont allées à l’encontre de nos directives communautaires”, lit-on dans l’avertissement, dont l’authenticité n’a pas pu être immédiatement vérifiée.
Le républicain géorgien a ajouté que “l’expérience des médias sociaux de fashion marxiste” impliquerait “une expérimentation sociale au support de Huge Pharma, de la communauté du renseignement et des initiatives DEI pour renforcer les steps des entreprises soutenant les problèmes de déchets DEI et voler les élections”.
Après son lancement tard mercredi, l’application – un web site de micro-running a blog textuel largement calqué sur Twitter – avait déjà recueilli 10 tens of millions d’inscriptions au cours de ses sept premières heures, selon Zuckerberg.
En critiquant Threads dès le départ, Greene s’appuie sur des antipathies de longue day à droite envers Meta et Zuckerberg.
Les conservateurs soutiennent depuis longtemps que la plate-forme est biaisée contre eux et ont critiqué ses décisions de modération de contenu, y compris sa suspension de deux ans de l’ancien président Donald Trump après l’assaut du 6 janvier 2021 contre le Capitole.
Certains ont également affirmé que Zuckerberg est engagé dans un effort and hard work pour influencer les élections américaines, soulignant moreover de 400 thousands and thousands de dollars que Zuckerberg et sa femme, Priscilla Chan, ont versés avant les élections de 2020 à des groupes à but non lucratif qui ont accordé des subventions aux gouvernements des États et locaux pour les élections. administration pendant la pandémie de COVID-19.