Les démocrates sont nerveux à propos d’un éventuel ticket présidentiel “No Labels”, selon le New York Times. Même les modérés du parti craignent qu’un tel exertion ne siphonne le soutien de Biden. Joe Manchin et Kyrsten Sinema ont été évoqués comme candidats potentiels, selon le rapport.
Les démocrates, méfiants à l’égard de tout ce qui pourrait remettre l’ancien président Donald Trump dans le bureau ovale l’année prochaine, ont largement apporté leur soutien à la candidature à la réélection du président Joe Biden.
Mais une poussée du groupe politique bipartisan No Labels pour proposer un “ticket d’unité” en 2024 s’avère déjà supply de division parmi les démocrates et les collègues idéologiques qui pourraient normalement soutenir des candidats furthermore centristes, selon le New York Periods.
Les nationaux-démocrates sont toujours marqués par des votes de tiers qui leur ont coûté un soutien critique lors des élections présidentielles de 2000 et 2016 lorsque leurs candidats étaient respectivement le vice-président Al Gore et l’ancienne secrétaire d’État Hillary Clinton.
Et la possibilité que des personnalités politiques additionally modérées comme le sénateur démocrate Joe Manchin de Virginie-Occidentale, le sénateur indépendant Kyrsten Sinema d’Arizona ou l’ancien gouverneur Larry Hogan du Maryland fassent partie d’un ticket No Labels a fait frémir certains démocrates, en grande partie car une troisième solution présidentielle créerait une ouverture supplémentaire pour que Trump reprenne la Maison Blanche.
“Si No Labels dirige un Joe Manchin contre Donald Trump et Joe Biden, je pense que ce sera un désastre historique”, a déclaré le représentant démocrate Dean Phillips du Minnesota au Moments. “Et je parle au nom de presque tous les démocrates modérés et franchement de la plupart de mes amis républicains modérés.”
Les personnes ayant des liens avec Manchin doutent qu’il puisse apparaître en tant que candidat No Labels, selon The Periods.
Cependant, le Virginie-Occidental, qui a récemment intensifié ses batailles avec l’administration Biden sur la politique climatique et énergétique, pourrait encore se présenter pour la réélection au Sénat l’année prochaine, une décision qu’il a dit qu’il prendrait d’ici la fin de l’année..