Les calculs sont basés sur le flux hydrodynamique de particules observé dans les collisions de divers sorts d’ions au Grand collisionneur de hadrons (LHC) et au Collisionneur d’ions lourds relativistes (RHIC)
présentant un comportement hydrodynamique. Cela signifie en outre que ces collisions peuvent former un plasma quark-gluon, un système de quarks et de gluons libéré des protons et des neutrons qui composent les ions. Ces résultats aideront à orienter les futures expériences au collisionneur électron-ion (EIC), une installation qui devrait être construite au laboratoire countrywide de Brookhaven au cours de la prochaine décennie.
Un exemple possible est un méson rho, constitué d’un quark et d’un antiquark maintenus ensemble par des gluons. Lorsqu’un méson rho entre en collision avec un noyau, il forme un système de collision très similaire à une collision proton-noyau, qui présente également des signaux de form flux.
Cette recherche a été financée par le Bureau des sciences du Département de l’énergie, le Bureau de la physique nucléaire et la Countrywide Science Foundation. La recherche a utilisé les ressources informatiques de l’Open Science Grid, soutenue par la Nationwide Science Basis.