Bien que de nombreuses mesures soient en place pour prévenir la contamination, des polluants, tels que le mercure et le plomb, peuvent toujours se retrouver dans l’environnement. Les détecter nécessite souvent des processus compliqués, mais que se passerait-il si vous pouviez les détecter du bout des doigts ? Les chercheurs faisant rapport dans ACS Nano ont développé un nanocapteur vehicle-alimenté qui peut découvrir de petites quantités d’ions mercure et rapporter immédiatement le résultat.
Le mercure sous sa forme Hg2+ peut être nocif s’il est consommé by means of de l’eau ou des aliments contaminés, c’est pourquoi les chercheurs ont développé divers capteurs de mercure. L’un d’eux était intégré dans un gant pour la surveillance sur site, mais il ne pouvait pas détecter l’ion en petites quantités et nécessitait une alimentation externe constante. Au lieu de cela, l’attention se tourne maintenant vers les systèmes vehicle-alimentés, tels que ceux entraînés par l’effet triboélectrique – une forme d’électricité statique. Non seulement cette électricité générée maintient l’appareil en marche, mais sa stress peut être utilisée pour signaler la présence d’un analyte particulier. Ces dispositifs sont connus sous le nom de nanocapteurs triboélectriques (TENS). Ainsi, Zong-Hong Lin et ses collègues ont voulu créer un TENS able de détecter avec précision de petites quantités d’ions mercure simplement en touchant un échantillon.
Pour fabriquer leur TENS, l’équipe a utilisé un réseau de nanofils de tellure sensibles au mercure. Cela a rendu leur capteur hautement sélectif, lui permettant de choisir sa cible même dans des échantillons compliqués. Les chercheurs ont monté le TENS sur le bout des doigts d’une most important robotique et l’ont touché à plusieurs reprises dans une resolution d’échantillon. Le changement de stress était transmis sans fil à un smartphone en temps réel, correspondant à la présence ou à l’absence d’ions mercure. Le capteur robotique a également détecté avec succès des ions dans l’eau de supply naturelle et l’eau du robinet avec la même méthode de “tapotage”. Il les a également détectés dans des aliments, notamment une crevette et une pomme, après avoir été enrichis avec le contaminant. Les chercheurs affirment que leur TENS pourrait servir de base à des dispositifs similaires pour surveiller d’autres polluants à distance et en toute sécurité.
Vidéo : https://youtu.be/wB2vnzkUdrU
Les auteurs reconnaissent le financement du programme de bourses pour jeunes chercheurs du Conseil national des sciences et de la technologie de Taïwan, la bourse de recherche de l’Université nationale Tsing Hua et la bourse de recherche de l’Université Chung-Ang en 2022.