Les erreurs de Donald Trump sur les réseaux sociaux suscitent l’amusement, alors que ses déclarations continuent d’avoir un impact sur les relations internationales. En particulier, une confusion orthographique a attiré l’attention au sujet du whisky et des tarifs douaniers. Malgré les tensions économiques croissantes, certains internautes se moquent des petites erreurs dans ses communications.
Une erreur orthographique soulignée par les internautes
Dans un message publié sur Truth Social Today, Donald Trump a déclaré : « L’Union européenne, l’une des autorités d’imposition et de tarification les plus hostiles et abusives au monde, qui a été formée dans le seul but de profiter des États-Unis, vient de mettre en place un tarif désagréable de 50 % sur le whisky. »
L’ironie réside dans le fait qu’il a utilisé l’orthographe canadienne de « whisky », au lieu de la version américaine qui s’écrit « whiskey ». Cette maladresse n’est pas passée inaperçue auprès des utilisateurs des réseaux sociaux. Un internaute satirique a réagi en disant : « Un vrai président américain saurait qu’il s’écrit ‘whiskey’ ici. » D’autres ont également ajouté leurs commentaires en notant cette différence d’orthographe entre les deux variantes.
Le taux élevé annoncé pour le vin provoque une réaction
Trump semble confiant quant à sa stratégie commerciale lorsqu’il déclare : « Si ce tarif n’est pas supprimé immédiatement, les États-Unis imposeront prochainement un tarif de 200 % sur tous les vins, champagnes et produits alcoolisés provenant de la France et d’autres pays représentés par l’UE. » Ce commentaire soulève toutefois plusieurs interrogations parmi ceux qui connaissent bien l’industrie viticole.
La protection du nom « champagne » remettent en question ses propos
En outre, il est important de noter qu’un produit ne peut être appelé « champagne » que s’il est élaboré près de 100 kilomètres autour de la région éponyme située en France. Cela met en lumière une autre inexactitude présente dans ses affirmations. Comme indiqué par le magazine Travel and Lifestyle : « Le nom est légalement protégé par la législation européenne ainsi que par un traité datant de 1891 exigeant que le véritable champagne soit produit dans cette région avec des raisins spécifiques comme le Pinot Meunier, le Pinot Noir ou le Chardonnay cultivés localement.»
L’impact publicitaire positif espéré par Trump pourrait rester illusoire
Toutefois, malgré ces imprécisions et cette méconnaissance apparente du secteur viticole français sous appellation contrôlée (AOC), Trump conclut son message avec optimismme lorsque déclaré que cela serait bénéfique pour les affaires américaines liées aux vins et champagnes. Une réalité différente émerge face à sa déclaration promotionnelle ; ce type d’approche pourrait ne pas avoir autant d’influence positive sur la commercialisation américaine.
Mieux vaut prendre garde à ces détails lors des prochaines prises de parole publiques.