Les grenouilles gèlent leur corps et les ornithorynques détectent les champs électriques  : voici 10 incroyables façons dont les animaux survivent dans des environnements dangereux

  • Le monde naturel, rempli de compétition pour les ressources et de climats hostiles, peut être dur pour les animaux
  • Pour survivre, les animaux ont dû s’adapter de façon surprenante
  • Les okapis, par exemple, ont des glandes olfactives sur leurs pattes pour marquer leur territoire

Les grenouilles des bois gèlent leur corps. Une grenouille des bois dans la forêt de montagne de Medvednica.Nikola Solic

Pour survivre à l’hiver, jusqu’à 60 % des corps des grenouilles des bois d’Alaska gèlent. Ils arrêtent également de respirer et leur cœur s’arrête de battre. Cela leur permet de survivre à des températures aussi basses que -80 degrés Fahrenheit. Et au printemps, ils dégèlent.

Pour atteindre cet état semi-congelé, les grenouilles accumulent de fortes concentrations de glucose (jusqu’à 10 fois la quantité normale) dans leurs organes et tissus. Les solutés de sucre agissent comme des “cryoprotecteurs”, empêchant leurs cellules de rétrécir ou de mourir.

Sources  : Assistance des parcs nationaux, Société de biologie intégrative et comparative

Les grenouilles gèlent leur corps et les ornithorynques détectent les champs électriques  : voici 10 incroyables façons dont les animaux survivent dans des environnements dangereux

Les rats kangourous se sont adaptés pour survivre dans le désert sans jamais prendre une gorgée d’eau. Au lieu de cela, ils obtiennent toute l’humidité dont ils ont besoin des graines qu’ils mangent. Ces créatures ont également une ouïe incroyable et peuvent sauter jusqu’à neuf pieds, ce qui les aide à éviter les prédateurs.

Source : Musée du désert Arizona-Sonora

Cinq familles de poissons notothénioïdes fabriquent leurs propres protéines “antigel” pour survivre dans l’océan Austral glacial entourant l’Antarctique. Les protéines se lient aux cristaux de glace dans leur sang, empêchant le poisson de geler. Cette adaptation extraordinaire contribue à expliquer pourquoi ces poissons constituent 90 % de la biomasse piscicole de la région.

Source  : Fondation nationale des sciences

Les ouaouarons africains créent des “maisons” de mucus pour survivre à la saison sèche. Les ouaouarons africains sont la deuxième in addition grande grenouille au monde.Samuel Maglione/Flickr

La grenouille taureau africaine vit dans la savane africaine, où il fait très chaud et sec. Lorsqu’une grenouille est hors de l’eau, le mucus sur sa peau l’aide à respirer en dissolvant l’oxygène de l’air. Afin d’éviter que sa peau ne se dessèche dans le climat chaud de l’Afrique, la grenouille taureau s’enterre de six à huit pouces sous terre. Il crée alors une membrane muqueuse, qui durcit en un cocon. La grenouille peut rester dans ce cocon jusqu’à sept ans en attendant la pluie. Lorsque la pluie arrive, l’humidité ramollit le sac muqueux, réveillant la grenouille et signalant le début de la saison des pluies – le instant où la grenouille se reproduit et où elle est la plus lively.

Resource : The Amphibian.co.uk, fil psychological

Les seiches ont la capacité étonnante de changer de couleur et de texture pour se fondre dans leur environnement. Ils peuvent détecter la quantité de lumière absorbée dans l’environnement, puis l’imiter avec leurs propres pigments. Ils ont 3 couches de peau (jaune, rouge et marron), qui peuvent être étirées de différentes manières pour créer des couleurs et des motifs uniques. Leur peau a aussi des papilles, qui laissent paraître les seiches rigides, comme du corail. Ensemble, ces caractéristiques permettent aux seiches d’échapper aux prédateurs et de se faufiler sur des proies sans méfiance.

Supply : UWLax

Les vers tubicoles transforment l’eau toxique en nourriture.NOAA

Les scientifiques ont longtemps pensé que la vie ne pouvait pas exister dans les bouches hydrothermales profondes dans l’océan. Mais en 1977, ils ont trouvé des vers tubicoles géants vivant le lengthy du Rift des Galapagos, à 8 000 pieds sous la surface area de l’océan. Ces vers tubicoles sont entourés d’une obscurité totale dans leur habitat et vivent dans une eau remplie de gaz toxique et d’acide.

Ils n’ont ni estomac, ni intestin, ni yeux. Au lieu de cela, ce sont des “sacs de bactéries” avec des buildings en forme de cœur et des organes reproducteurs. Les bactéries à l’intérieur des vers utilisent le sulfure d’hydrogène toxique dans l’eau, qui tuerait la plupart des autres animaux, comme resource d’énergie pour produire des glucides.

Resource : Countrywide Geographic

Les okapis sont des animaux étranges qui ressemblent à une combinaison d’une girafe et d’un zèbre. Ils vivent en République Démocratique du Congo, où il fait très chaud et où les prédateurs tels que les léopards sont toujours à l’affût. Pour survivre, les okapis utilisent trois adaptations clés. Premièrement, ils ont des glandes olfactives sur leurs pieds pour marquer leur territoire. Deuxièmement, ils ont des appels infrasonores, ce qui leur permet de communiquer avec leurs petits sans que les prédateurs n’entendent leurs appels. Enfin, ils ont des langues de 14 à 18 pouces, qu’ils peuvent utiliser pour se laver les yeux et les oreilles.

Source : Africa Geographic

Le poisson-world peut gonfler jusqu’à furthermore du double de sa taille d’origine.Exploration et recherche océaniques de la NOAA

Les poissons-globes ont la capacité de gonfler leur estomac avec de l’eau s’ils se sentent menacés, affichant parfois des pointes dans le but de dissuader les prédateurs potentiels. D’autres fois, ils gonflent juste pour étirer leurs muscle tissue. Ils peuvent gonfler jusqu’à plus du double de leur taille d’origine.

De furthermore, le poisson-globe produit une neurotoxine appelée tétrodotoxine qui, lorsqu’elle est consommée, peut provoquer une paralysie et des convulsions. Dans certains cas, la consommation d’un poisson-world peut entraîner la mort.

Source  : Aquarium de Seattle

Les oreilles d’éléphant agissent comme un mécanisme de refroidissement intégré. Ils peuvent se rafraîchir en battant leurs oreilles géantes. En passant par le mouvement de battre des oreilles, les éléphants créent une brise et favorisent la circulation sanguine dans les vaisseaux de l’oreille, ce qui les aide à se refroidir.

Parfois, les éléphants s’éclaboussent dans un program d’eau et utilisent leur trompe pour pulvériser des gouttelettes d’eau et des ruisseaux derrière leurs oreilles afin de renforcer l’effet de refroidissement.

Sources  : Zoo de San Diego et réserve de chasse de Kariega

L’ornithorynque utilise son bec pour détecter les champs électriques produits par les proiesREUTERS/Mick Tsikas

Un bec d’ornithorynque est capable de détecter les champs électriques subtils produits par sa proie lors de la chasse et de la récupération de sa nourriture. L’ornithorynque plonge pour chercher de la nourriture au fond d’un program d’eau comme une rivière ou un ruisseau. Il recherche les créatures du fond comme les crustacés, les vers et les larves d’insectes.

À l’aide de mécanorécepteurs à poussoir, le bec de l’ornithorynque est capable de capter les changements de pression, de mouvement et de signaux électriques laissés par de petites proies. L’ornithorynque balaie sa tête d’un côté à l’autre pour activer les mécanorécepteurs, une composition chimique qui permet la détection de divers stimuli comme le toucher, la pression, les vibrations et le son.

Source  : Musée américain d’histoire nationale

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