Le 15 juillet, des policiers espagnols escortent six touristes allemands arrêtés pour avoir prétendument agressé sexuellement une jeune femme allemande devant les tribunaux de Palma de Majorque, en Espagne. Depuis lors, la police a enquêté sur deux autres cas présumés de viol collectif impliquant de jeunes touristes sur l’île. Photo d’archives par Miquel A. Borras/EPA-EFE
Des photos montraient les trois Britanniques se couvrant le visage alors qu’ils se rendaient devant un tribunal de Palma, en Espagne, pour faire face à des accusations liées au viol collectif présumé d’une Britannique qui affirme avoir été droguée vendredi dans un hôtel de la ville de Magaluf.
Publicité
Les trois hommes ont tenté de quitter le pays mais ont été appréhendés à l’aéroport de Palma Son Sant Joan alors qu’ils s’apprêtaient à embarquer sur un vol à destination de Manchester en Grande-Bretagne.
Le médecin qui a examiné la victime présumée a déclaré qu’elle présentait des signes de violences sexuelles.
Les premières preuves suggèrent que la femme avait été droguée, a-t-il ajouté, ajoutant que la victime avait déclaré à la police “qu’elle ne se sentait pas bien, probablement à cause de la consommation d’un certain type de drogue”. Elle a déclaré qu’elle ne connaissait pas l’identité des agresseurs présumés, juste le surnom. de l’un d’entre eux utilisé sur un réseau social.”
La police a néanmoins pu identifier les hommes.
“Les policiers ont identifié les agresseurs présumés qui venaient d’abandonner l’hôtel avec l’intention de prendre un vol pour rentrer dans leur pays d’origine”, a ajouté le porte-parole.
Plus tôt ce mois-ci, six personnes, dont cinq ressortissants français et un ressortissant suisse, ont été arrêtées, soupçonnées d’avoir violé en réunion une autre Britannique dans le même hôtel où a eu lieu l’attaque de cette semaine.
Et en juillet, six Allemands ont été arrêtés pour le viol présumé d’une Allemande de 18 ans dans un hôtel de Majorque.
Les autorités ont déclaré qu’il était probable que les trois Britanniques arrêtés vendredi soient détenus dans le même établissement que les ressortissants suisses et français détenus dans le cadre de l’attaque précédente.