Tatiana Blatnik a brisé le silence concernant son divorce avec Nikolaos de Grèce, révélant la complexité de leur séparation après 22 ans d’amour et près de 14 ans de mariage. Elle reste reconnaissante envers l’ancienne famille royale qu’elle admire encore, témoignant d’une volonté de tourner la page tout en conservant un respect mutuel.
- Tatiana Blatnik parle pour la première fois de son divorce avec Nikolaos de Grèce.
- Elle a vécu 22 ans d'amour et 14 ans de mariage avant leur séparation.
- Dans une interview, elle exprime sa gratitude envers l'ancienne famille royale.
- Elle affirme que rester en Grèce est important pour elle malgré les défis émotionnels.
Dans une interview accordée à l’édition espagnole de « Vanity Fair », Tatiana Blatnik a évoqué son divorce pour la première fois. L’annonce inattendue de leur rupture, il y a moins d’un an et demi, avait suscité surprise et incompréhension dans le public, surtout après que Nikolaos ait rapidement formé une nouvelle union avec Chrysí Vardinogiánnis, neuf mois après leur séparation.
Elle a fait allusion à ces « dernières semaines » comme à « une aventure remplie de changements ».
Être mariée à Nikolaos a été un privilège
Au cours de l’interview exhaustive, Tatiana déclare : « Mettre fin à un long mariage n’est jamais facile. Nous sommes passés à une nouvelle étape. » Elle décrit sa relation avec la famille royale grecque comme un « privilège », ayant appris des valeurs essentielles telles que l’amour et le service à la patrie. Elle souligne son admiration pour cette famille en particulier pour leur forte unité familiale.
Concernant Nikolaos, elle affirme avoir toujours du respect pour lui : « Être mariée à Nikolaos a été un privilège. Notre histoire a marqué une étape très importante de ma vie. Sans lui, je ne vivrais pas en Grèce. » Cette référence au choix du prince entre vivre en Grèce ou ailleurs témoigne des liens forts qu’ils ont partagés.
La Grèce dans le cœur
Tatiana continue d’affirmer son attachement envers la Grèce, déclarant qu’elle n’a jamais eu autant envie d’y rester depuis les événements turbulents qui ont bouleversé sa vie personnelle. Elle précise : « Rester n’a pas été le chemin le plus facile, mais c’est dans mon cœur. »
Elle aborde également les défis liés au processus émotionnel entamé depuis leur rupture en indiquant que : « La guérison n’est pas un processus linéaire. » Malgré tout cela, elle assure croire aux contes féeriques possibles : « Je crois qu’il est possible de réécrire les contes de fées. […] Il faut toujours croire en quelque chose de plus grand. »
Tatiana Blatnik se positionne ainsi comme une femme résiliente face aux bouleversements personnels. Sa détermination montre qu’après chaque fin se profile un nouveau départ rempli d’espoir.
