Jon Stewart critique le mandat de Donald Trump : Un retour satirique sur ses 100 premiers jours

- Jon Stewart critique le mandat de Donald Trump.
- Il met en évidence les promesses non tenues et le mécontentement populaire.
- Stewart raillonne l'affirmation de Trump sur ses 100 premiers jours.
- Il critique la gestion économique et les politiques d'immigration de Trump.
Jon Stewart, dans un épisode spécial intitulé «les deuxième premiers jours du président Trump : un incroyable 100 jours sans perturbation», a adressé des critiques acerbes au deuxième mandat de Donald Trump. Au travers de son monologue, il a mis en évidence les promesses non tenues et le mécontentement populaire concernant la gestion présidentielle.
Jon Stewart apparaît avec une longue barbe blanche
Il souligne son épuisement face à la situation actuelle. Il dit : «Je suis tellement fatigué. Il vieillit cette nation dans les années de naufrage de Tom Hanks.»
Stewart raillonne l’affirmation de Trump
Il réagit à l’affirmation de Trump selon laquelle il avait réalisé «les 100 jours les plus réussis de l’histoire de notre pays». Stewart a raillé : «Suck it, Jefferson ! Suck it, Lincoln ! Suck it, Roosevelts au carré.» À cela, il a ajouté que ces premiers jours étaient comme si l’Amérique avait «atterri sur la lune et tué Ben Laden dans la même mission».
Stewart s’moque de la note d’approbation historiquement basse
Il note que la note d’approbation historiquement basse atteinte par Trump durant son mandat – «la plus basse de tout président au cours des 80 dernières années» – semblait peu l’inquiéter car «il est équipé d’un accessoire de protection» contre ses désagréments.
Stewart critique la gestion économique du pays
Il constate que le ressentiment populaire pouvait être lié aux promesses non tenues par Trump. Ce dernier avait envisagé un «tout nouveau boom économique» qui ne semblait pas s’être matérialisé. Il remarque : «Malheureusement, je pense qu’il est assez clair que sur l’économie, Donald Trump a fait un boom-boom.»
Stewart évoque les arrangements financiers
Il note que la valeur nette de Trump aurait plus que doublé durant les 100 premiers jours du mandat et qu’il aurait signé un accord lucratif pour un documentaire sur Melania Trump pour 40 millions de dollars.
Stewart critique les politiques d’immigration
Il évoque les arrangements financiers qui auraient profité à Trump lui-même, notant que sa valeur nette aurait plus que doublé durant les 100 premiers jours du mandat et qu’il aurait signé un accord lucratif pour un documentaire sur Melania Trump pour 40 millions de dollars. Il s’exclame : «Oh mon putain de Dieu,» en se référant à une expulsion dramatique d’un enfant atteint de cancer. Selon lui, cela montre clairement une mécompréhension chez le président américain concernant des principes fondamentaux tels que ceux défendus par Make-A-Wish.
Stewart rappelle l’intégrité constitutionnelle
Pour finir son intervention avec gravité, Jon Stewart interpelle directement Donald Trump en rappelant aux téléspectateurs combien il était important de préserver l’intégrité constitutionnelle américaine bâtie depuis longtemps : «C’est le nœud de l’exceptionnalisme américain… Vous êtes juste un lutin temporaire.»
Cet épisode rappelle ainsi avec humour et ironie combien certains enjeux contemporains relèvent encore aujourd’hui du défi moral et politique majeur pour les États-Unis.