L'héritage de Ghostface se parle en rond

Scream VI prend un sixième coup à la franchise de slasher consciente de soi qui vient de l’esprit de Kevin Williamson, initialement mis à l’écran par Wes Craven en 1996. Les réalisateurs Matt Bettinelli-Olpin et Tyler Gillett reviennent après leur hard work précédent. Scream VI augmente la violence d’un cran, mais il est en deçà des attentes.

“Scream VI” débarque à New York

Un an après les événements de Scream de 2022, Sam (Melissa Barrera) et Tara Carpenter (Jenna Ortega) ont survécu de peu à la séquence de terreur de Ghostface. Ils ont déménagé de leur ville natale de Woodsboro à New York à la recherche d’une vie meilleure. Tara est maintenant étudiante, entretenant ses amitiés étroites avec d’autres survivants, Chad (Mason Gooding) et Mindy Meeks-Martin (Jasmin Savoy Brown).

Cependant, la in addition grande peur du groupe les a suivis dans la grande ville. Des meurtres brutaux de Ghostface commencent soudainement à avoir lieu, plaçant Sam et Tara au centre de ces crimes. Ils devront travailler ensemble avec de nouveaux visages pour s’assurer qu’ils ne deviennent pas les prochaines victimes.

Famille, fraternité et apprendre à lâcher prise

Le scénario de Scream VI de James Vanderbilt et Male Busick revient à l’essentiel en ce qui concerne la formule de la franchise. La séquence d’ouverture ne se retient pas, déclenchant des événements féroces qui placent progressivement Sam et Tara dans le collimateur de Ghostface et des forces de l’ordre enquêtant sur l’affaire. La suite de la suite de 2022 maintient un méta-flux, doublant les règles de franchise que les personnages utilisent pour essayer de découvrir l’identité du as well as récent Ghostface.

L'héritage de Ghostface se parle en rond

Scream VI plonge ses talons dans le traumatisme que ses personnages ont subi à la suite des événements de Woodsboro. Cependant, ils font tous face aux difficultés de différentes manières. Sam assiste à des séances de thérapie, se sentant comme un paria complete, accablé de culpabilité. Elle a des problèmes de confiance qui s’étendent à son comportement surprotecteur envers Tara, qui est maintenant une adulte avec son propre battle en elle.

Les événements de Woodsboro ont fait de Sam un personnage infâme, incapable d’échapper aux vrais aficionados du criminal offense. La franchise Scream a toujours inculqué des thèmes LGBTQ +, et le sixième opus n’est pas différent. Sam et Tara sont poussés aux frontières de la société, incapables de faire confiance à personne, vehicle ils sont obligés de se méfier même de la famille choisie qui les entoure.

‘Scream VI’ n’a pas l’intelligence pointue de ses entrées précédentes

Scream VI établit davantage ses nouveaux venus de Woodsboro comme le nouvel ensemble plein de personnalité. Gale Weathers de Courteney Cox et Sidney Prescott de Neve Campbell restent des personnages hérités, mais leurs récits sont entrelacés avec ces nouveaux jeunes adultes représentant une nouvelle génération. Il y a beaucoup d’œufs de Pâques abandonnés, cherchant une sorte de paradis pour le mégafan Scream.

Cette fois-ci, Ghostface adopte une approche plus effrontée pour tuer ses victimes, faisant écho aux massacres publics du passé. C’est l’épisode le furthermore brutal de la franchise à ce jour, sans avoir peur de faire preuve de pure barbarie. Bettinelli-Olpin et Gillett trouvent leur spot avec quelques décors d’horreur remplis de rigidity à New York. Il y a des tueries satisfaisantes en cours de route qui laisseront les admirers de longue date applaudir.

Cependant, l’absence de Campbell se fait sentir. Elle a légitimement refusé de revenir à la suite en raison d’une offre financière inadéquate. L’histoire essaie de l’expliquer, mais c’est raté. L’histoire atteint une note particulièrement aigre dans son troisième acte dont elle n’est tout simplement pas able de se remettre, en s’appuyant sur une révélation décevante.

Semblable à son prédécesseur, cette suite ne trouve pas de moyen particulièrement innovant d’introduire des influences d’horreur modernes dans sa narration. C’est un pas en avant par rapport à la cinquième entrée, mais cela pourrait être tellement in addition. Scream VI augmente le gore, mais il lui manque la character pointue et intelligente de certaines des entrées précédentes. C’est une chambre d’écho de la nostalgie qui ne se pousse pas en avant.

Scream VI débarque dans les salles le 10 mars.