Paul Cauthen chante "Fuck You Money" sur le nouvel album de Brash

Paul Cauthen se vante d’avoir Benjamins à graver dans “Fuck You Income”, une chanson scandaleuse et ironique sur son dernier album, le très divertissant Region Coming Down. Et quand il a appelé de New York moreover tôt ce printemps, il était évident qu’il avait pris le titre à cœur.

“Ma femme m’a coiffé et confectionné tous mes vêtements et elle a dit:” Je dois le voir de mes propres yeux. Alors, je me dis, allons-y », dit Cauthen depuis sa chambre d’hôtel, où il vient de faire des folies sur 30 variétés différentes de bagels. “Nous ne prenons qu’une bouchée de chacun.”

Cauthen n’est rien sinon fièrement exagéré. Sur scène, il lâche l’alter moi de « Major Velvet », un dandy démesuré qui vole comme Huggy Bear mais avec une voix tonitruante à mi-chemin entre Johnny Cash et Nick Cave. Il aime les grands chapeaux et les vestes en satin flashy sur sa photo de presse, il porte une canne. Voir l’imposant Cauthen se produire en immediate (il est en tournée jusqu’en septembre), c’est voir un homme subir une transformation. L’ambiance dans la pièce – en particulier pendant ses années de fête où des chansons comme “Cocaine Nation Dancing” n’étaient pas tant de la fantaisie que des énoncés de mission – peut sembler dangereuse.

Sur Region Coming Down, Cauthen brille de mille feux, en contraste frappant avec l’obscurité qui a enveloppé son album de 2019 Area 41. Alors que ce disque a été écrit comme un exercice pour purger la douleur et divers démons, ses chansons, en particulier la maussade mais irrésistible “Cocaine Place Dancing, » a aidé Cauthen et le producteur Beau Bedford à atterrir sur le son Significant Velvet : un mélange en sueur de state-funk et de R&B dansant. Si le leading album de Cauthen en 2016, My Gospel, était une affaire principalement acoustique qui convenait mieux à l’introspection tôt le matin, le décadent Nation Coming Down est fait pour être montré jusqu’au petit matin.

Paul Cauthen chante

« Je comprends ce que la foule veut vraiment : elle veut bouger. Ils veulent se secouer le cul, tu sais ? J’avais besoin d’apporter ce coup [for Country Coming Down],” il dit. « Si ce n’était pas un banger ou quelque chose qui vous fait bouger les orteils et vous fait danser, alors je ne voulais pas que ça figure sur le disque. C’est là que j’étais dans mon état d’esprit, pour réaliser un bon équilibre sonore entre Merle Haggard et Funkadelic.

“Je pense que la musique state, la plupart du temps maintenant, est putain d’ennuyeuse”, poursuit-il (“Les vrais cow-boys ne rockent pas à la Kenny Chesney”, ricane Cauthen dans l’album one “Country As Fuck”). « Je ne sais même pas s’il y a de la musique country. Les genres sont tellement contaminés, c’est devenu un concours de pisse de ‘Comment appelez-vous ceci, remark appelez-vous cela ?’ Le mien est ‘Paul Cauthen’… et je suis juste ici pour allumer des feux.

Cauthen se référant à sa musique, ou même à lui-même, à la troisième personne est en droite ligne avec le personnage de Massive Velvet. La raison pour laquelle le personnage fonctionne et pourquoi des chansons aux titres ridicules comme “Fuck You Funds”, “Country As Fuck” et “Region Clubbin'” réussissent, est owing au fait que l’East Texan croit pleinement en sa propre création de mythes. “Elle porte du Versace et j’utilise du fil dentaire Tom Ford / Pour quoi diable suis-je même nominé?” il chante dans “Champagne & a Limo”. « Les gens se disent  : « Mec, est-ce que c’est satirique ?

Pourtant, Cauthen est conscient que son fanfaron surdimensionné peut frotter certaines personnes dans le mauvais sens. Mais il le evaluate à la vantardise qui définit le hip-hop.

« Merde », dit Cauthen, faisant écho à l’un des dictons préférés de son grand-père. “Jay-Z parlait de lancer des cracks dans ses deux premiers disques.”

De furthermore, il admet qu’il n’a pas vraiment de “va te faire foutre l’argent”.

“C’est presque comme une arrogance risible”, dit Cauthen. « Mais je n’ai pas besoin d’avoir un milliard de dollars. Si je peux aller acheter un steak n’importe où dans le monde et le manger ce soir-là, je pense que je suis un humain riche. C’est de l’argent, putain.