Les dirigeants du Credit history Suisse pourraient être interrogés et disciplinés sur la façon dont ils ont dirigé la banque dans la perspective de son effondrement et du sauvetage ultérieur par son rival UBS, selon le président du régulateur financier suisse.
«Nous ne sommes pas une autorité pénale, mais nous étudions les possibilités pertinentes», a déclaré Marlene Amstad au journal regional NZZ am Sonntag, lorsqu’on lui a demandé si la FINMA demanderait aux dirigeants du Credit history Suisse de rendre compte de l’échec.
Les commentaires d’Amstad sont intervenus une semaine après que la FINMA et le gouvernement suisse ont négocié un accord pour qu’UBS reprenne la banque suisse de 167 ans pour 3 milliards de francs (3,3 milliards de pounds).
Les steps du Credit history Suisse cotées à Zurich ont chuté de 93% entre le début de 2021 et dimanche dernier et se négocient actuellement au prix de rachat convenu par UBS de, 76 franc (,83 $).
Le géant bancaire suisse a été impliqué dans plusieurs scandales très médiatisés au cours de cette période. Il a subi des pertes massives suite à l’effondrement de ses clients Archegos Money Administration et Greensill Funds en 2021, et il a été condamné à une amende de 2 thousands and thousands de pounds pour avoir blanchi de la cocaïne pour des criminels bulgares l’année dernière.
“CS avait un problème culturel qui s’est traduit par un manque de responsabilité”, a déclaré Amstad dans l’interview de NZZ am Sonntag publiée dimanche. “Souvent, il n’était pas clair qui était responsable de quoi.”
“Cela a favorisé une gestion négligente des risques”, a-t-elle ajouté.
Le président de la FINMA a défendu la décision très médiatisée du régulateur de réduire à zéro la valeur des obligations More Tier 1 du Credit score Suisse à la suite de la faillite de la banque.
Les AT1 sont des obligations hybrides qu’une banque peut convertir en steps si sa santé financière tombe en dessous d’un selected niveau. La FINMA a déclaré la semaine dernière qu’elle écrirait la valeur des AT1 du Credit rating Suisse à zéro, anéantissant ainsi des actifs d’une valeur de 16 000 milliards de francs suisses (17 milliards de pounds) du jour au lendemain.
Cela a suscité l’indignation des détenteurs d’obligations, dont certains disent qu’ils envisagent maintenant une motion en justice contre le chien de garde financier. Mais Amstad a souligné que les petits caractères des contrats d’obligations avaient donné à la FINMA le pouvoir de les anéantir dans des circonstances extraordinaires.
“Les instruments AT1 prévoient contractuellement qu’ils seront intégralement annulés en cas d’événement déclencheur, notamment l’octroi d’un soutien gouvernemental extraordinaire”, a-t-elle déclaré.
“Les devices ont été créés précisément pour de telles predicaments”, a ajouté Amstad.
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