Dans une lettre annonçant son troisième album Don#39t Ignore Me, l#39auteure-compositrice-interprète Maggie Rogers dit qu#39elle s#39est inspirée pour son dernier projet en créant une « Thelma et Louise moreover jeunes », en utilisant ce vaisseau de narration pour naviguer dans ses propres vérités personnelles difficiles. Une telle envie d’exploration de soi est un thème commun pour Rogers, une artiste qui a proclamé : « Je me suis retrouvée quand j’allais partout » sur son premier album. Cette fois-ci, elle entreprend un road trip métaphorique à travers son propre passé pour échapper à son présent déconcertant.
Rogers publie une pop intelligente et semi-autobiographique depuis le lancement de sa carrière en 2016 avec un instant viral dans lequel elle a impressionné Pharell avec une interprétation de sa chanson « Alaska » alors qu#39elle était encore étudiante à NYU. Depuis lors, Rogers a puisé dans un massive éventail d#39influences – des Grateful Dead à Britney Spears – en passant de la pop éclectique de son leading album Read It in a Past Lifetime en 2019, aux sons élégants et futuristes de son deuxième album Surrender.. Elle est la unusual artiste d#39une vingtaine d#39années qui pourrait sembler aussi à l#39aise en jouant à Coachella qu#39au Newport Folks Festival.
« So Unwell of Dreaming », le deuxième solitary de Don#39t Fail to remember Me, trouve Rogers ambivalente quant à sa réalité frustrante elle se fait poser des lapins lors de rendez-vous et est obligée de regarder ses amis proches vivre des existences qui « semblent si effrayantes » : se marier et entretenir des relations insatisfaisantes. Sur l#39ouverture de l#39album « It Was Coming All Together », le joueur de 29 ans est plongé dans la crise existentielle de quelqu#39un qui a « moreover de 22 ans » et qui se languit de jours passés.
Pour faire face à toutes les désillusions, Don#39t Neglect Me s#39évade dans la mémoire et les réflexions insouciantes, parfois même le genre dont on apprend. Sur l#39insistance accrocheur « The Get rid of », elle se souvient avec tendresse des premières années passionnantes d#39une relation passée avec des détails intimes comme le partage de « chansons de rock indépendant dans la voiture » et le fait que son partenaire porte du « cuir frais ». De même, « If Now Was Then » est une promenade écrasante dans le passé alors que Rogers nous fait revivre les années universitaires de cette même relation et met à nu ses regrets. Sur la ballade perçante « I Nonetheless Do », Rogers chante l#39amour sans fard qu#39elle avait autrefois pour un ex, avant d#39admettre que c#39est un sentiment dont elle ne peut pas se débarrasser.
Choix de l#39éditeur
Pour une telle demand émotionnelle, l’album est une écoute facile, parfaite pour un trajet du dimanche après-midi. Coproduit avec Ian Fitchuk (qui a travaillé sur Golden Hour, qui a défini la carrière de Kacey Musgrave), Don#39t Forget about Me supprime la production de l#39auteur-compositeur-interprète imprégnée de synthé de Listened to It in a Previous Lifestyle et l#39expérimentation rock alternatif de Surrender de 2022. pour révéler un son pop-rock rustique et as well as organique. Des morceaux optimistes comme « On and On and On » et « Hardly ever Heading Dwelling » sont parfaitement faits pour chanter à haute voix, d#39une manière qui rappelle les premiers travaux de Michelle Department.
- Maggie Rogers puise dans ses expériences personnelles pour créer son troisième album
- Son style unique et éclectique lui a valu un succès viral dès le début de sa carrière en tant qu'artiste
- Dans "Don't Forget Me", elle explore son passé à travers des chansons touchantes et mélancoliques
- L'album combine des sons pop et rock organiques, tout en mettant en valeur la voix de Rogers et sa capacité à exprimer des émotions complexes